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đŸ‡ș🇳 Nations Unies et Cour suprĂȘme contre la cybersurveillance

Shake ă€°ïž 13 Jan. 2023

Salut Shaker 👋

C’est vendredi, voici le Shake. Pour toi, voici ce que l’on a retenu du digital et de la cyber cette semaine.

Dans l’actu :

đŸ‘šđŸ»â€âš–ïž La Court SuprĂȘme des États-Unis valide la plainte de Meta contre NSO Group,

â˜ąïž Des laboratoires de recherche nuclĂ©aire amĂ©ricains ciblĂ©s par des hackers russes,

đŸŽïž Les grandes marques automobiles sujettes Ă  des vulnĂ©rabilitĂ©s critiques,

đŸ€– Les cybercriminels s’appuient aussi sur l’Intelligence Artificielle,

đŸ—Łïž La libertĂ© d’expression au coeur des nĂ©gociations du projet de traitĂ© des Nations Unies sur la cybercriminalitĂ©,

🚹 Une faille de haute gravitĂ© dĂ©couverte dans une implĂ©mentation JWT populaire.

On t’explique tout ça plus bas.

Retrouvez le mag : 🧹 les principales techniques de dĂ©ni de service, des ingrĂ©dients Ă  la carte pour partager vos propres cocktails cyber Ă  la maison ou au bureau, et, roulement de tambour
 la question de la semaine !

Bonne lecture !

La Shakerz core team

ă€°ïž La reco du barman ă€°ïž

đŸ‘šđŸ»â€âš–ïž La Cour SuprĂȘme des États-Unis valide la plainte de Meta contre NSO Group

La Cour suprĂȘme des États-Unis vient de rendre ce lundi 9 janvier un jugement clĂ© dans une affaire qui oppose depuis 2019 Meta et sa filiale WhatsApp Ă  l'entreprise israĂ©lienne de logiciels espions NSO Group.

beige concrete building under blue sky during daytime

Depuis plusieurs années, Meta accuse NSO d'avoir utilisé une vulnérabilité de type zero-day présente dans son application WhatsApp pour installer à distance son logiciel malveillant Pegasus sur environ 1 400 téléphones à travers le monde.

Rappel de l’affaire Pegasus

L’affaire Pegasus est un scandale d’espionnage international mondialement cĂ©lĂšbre dans lequel les tĂ©lĂ©phones de chefs d’état, personnalitĂ©s politiques, journalistes, opposants ou acteur de la sociĂ©tĂ© civile avaient Ă©tĂ© espionnĂ©s dans le monde entier grĂące au logiciel espion “Pegasus” dĂ©veloppĂ© par l’entreprise israĂ©lienne NSO. Ce scandale a vu le jour le 18 juillet 2021 suite aux rĂ©vĂ©lations d’un consortium de journalistes. Depuis, l’entreprise israĂ©lienne a sur le dos plusieurs enquĂȘtes judiciaires, parlementaires et procĂšs, dont celui l’opposant Ă  Meta.

NSO s’oppose aux poursuites

Suite aux accusations de Meta, NSO avait tentĂ© de mettre un terme aux poursuites en arguant avoir agi au nom d'un gouvernement Ă©tranger pour enquĂȘter sur des activitĂ©s terroristes au moment du dĂ©ploiement du logiciel. À ce titre, l’entreprise estime devoir bĂ©nĂ©ficier de l’immunitĂ© souveraine des États Ă©trangers. Sa tentative de justification n’avait pas convaincu le tribunal fĂ©dĂ©ral de Californie qui avait dĂ©cidĂ© de valider la plainte de Meta.

CampĂ©e sur ses positions, NSO avait donc dĂ©cidĂ© de faire appel de la dĂ©cision devant la Cour suprĂȘme des États-Unis. Ce lundi 9 janvier, la Cour suprĂȘme des États-Unis vient donc confirmer le verdict prĂ©cĂ©dent, le renvoyant ainsi devant la cours d’appel.

MalgrĂ© les diffĂ©rents verdicts en faveur de Meta, NSO campe sur ses positions et maintient que l'utilisation de Pegasus Ă©tait et est toujours tout Ă  fait lĂ©gale. Suite Ă  la dĂ©cision de la Cour suprĂȘme, un porte parole de NSO est allĂ© jusqu’à dĂ©clarer que "Meta a entravĂ© Ă  plusieurs reprises la capacitĂ© des forces de l'ordre Ă  enquĂȘter lĂ©galement sur l'utilisation de WhatsApp par des criminels pour commettre des crimes graves et des actes de terrorisme" et que l’entreprise est “convaincu que le tribunal dĂ©terminera que l'utilisation de Pegasus par ses clients Ă©tait lĂ©gale."

Une décision qui ouvre la voie à de futures actions en justice

La dĂ©cision de la Cour suprĂȘme des États-Unis est une trĂšs bonne nouvelle pour les journalistes et personnes illĂ©galement ciblĂ©es par des logiciels espions.

Selon Carrie DeCell, avocat principal au Knight First Amendment Institute de l'Université de Columbia, "la décision d'aujourd'hui ouvre la voie aux procÚs intentés par les entreprises technologiques, ainsi qu'aux procÚs intentés par les journalistes et les défenseurs des droits de l'homme qui ont été victimes d'attaques de logiciels espions. L'utilisation de logiciels espions pour surveiller et intimider les journalistes constitue l'une des menaces les plus urgentes pour la liberté de la presse et la démocratie aujourd'hui."

🧹 Les techniques de dĂ©ni de service

Une attaque DDoS (Distributed Denial of Service) est une attaque qui vise Ă  rendre inaccessible des systĂšmes d’information, des dispositifs ou d'autres ressources rĂ©seau pour les utilisateurs lĂ©gitimes en surchargeant la cible de trafic.

Parmi les services touchés, on retrouve généralement les messageries électroniques, les sites web, les comptes en ligne et d'autres services dépendants de l'ordinateur ou du réseau ciblé. Ces attaques entrainent des pertes de temps et d'argent pour les organisations impactées qui ne peuvent plus accéder à leurs ressources et services.

ă€°ïž Vos shots ă€°ïž

â˜ąïž Des laboratoires de recherche nuclĂ©aire amĂ©ricains ciblĂ©s par des hackers russes

Des documents examinĂ©s par Reuters et cinq experts en cybersĂ©curitĂ© font Ă©tat d’une attaque informatique ayant ciblĂ©, entre aoĂ»t et septembre de l'annĂ©e derniĂšre, des laboratoires de recherche nuclĂ©aire aux États-Unis. Les laboratoires amĂ©ricains de Brookhaven (BNL), d'Argonne (ANL) et de Lawrence Livermore (LLNL) ont Ă©tĂ© visĂ©s par un groupe de pirates informatiques russes connu sous le nom de Cold River.

L’attaque informatique aurait eu lieu dans un contexte oĂč la Russie n’hĂ©sitait pas Ă  agiter la menace d’avoir recours Ă  l’arme nuclĂ©aire dans le cadre du conflit en Ukraine. Selon les informations examinĂ©es, les pirates auraient crĂ©Ă© de fausses pages de connexion pour chacun des laboratoires et envoyĂ© des emails Ă  des scientifiques pour les inciter Ă  rĂ©vĂ©ler leurs mots de passe. Pour l’heure, les raisons de cette attaque ainsi que l’état de sĂ©curitĂ© des laboratoires restent inconnus. Le ministĂšre de l'Énergie amĂ©ricain s'est refusĂ© Ă  tout commentaire Ă  ce sujet.

đŸŽïž Votre auto de grande marque a des vulnĂ©rabilitĂ©s critiques

Des chercheurs en cybersĂ©curitĂ© rĂ©vĂšlent dans une Ă©tude rĂ©cente que des millions de vĂ©hicules connectĂ©s de presque toutes les grandes marques automobiles pourraient ĂȘtre affectĂ©s par des vulnĂ©rabilitĂ©s. Les marques concernĂ©es sont Mercedes-Benz, BMW, Rolls Royce, Ferrari, Ford, Porsche, Toyota, Jaguar et Land Rover, ainsi que la sociĂ©tĂ© de gestion de flotte Spireon et la sociĂ©tĂ© de plaques d'immatriculation numĂ©riques Reviver. Parmi ces marques, les vulnĂ©rabilitĂ© les plus inquiĂ©tantes, du moins du point de vue de la sĂ©curitĂ© publique, ont Ă©tĂ© dĂ©couverte chez Spireon. Les chercheurs ont dĂ©couverts de nombreuses vulnĂ©rabilitĂ©s en matiĂšre d'injection SQL et de contournement d'autorisation qui auraient permis a un pirate de prendre le contrĂŽle de n’importe quel vĂ©hicule (ambulances et vĂ©hicules de police compris) de la marque. De quoi crĂ©er un vĂ©ritable chaos dans les rues.

Concernant Ferrari, les analystes ont pu accĂ©der au code JavaScript de plusieurs applications internes grĂące Ă  des contrĂŽles d'accĂšs trop permissifs. Le code contenait des clĂ©s d’API et des informations d’identification qui auraient pu ĂȘtre utilisĂ©es pour accĂ©der, entre autres, aux dossiers clients, prendre le contrĂŽle des comptes, obtenir des autorisations de super-utilisateur, crĂ©er ou supprimer des comptes administrateurs et modifier des sites web officiel de Ferrari.

đŸ€– Quand les cybercriminels s’appuient sur l’Intelligence Artificielle

L’IA ChatGPT a suscitĂ© beaucoup d’enthousiasme depuis sa mise en service en novembre dernier par OpenAI, l’une des entreprises d’Elon Musk. Mais comme tout outil, entre de mauvaises mains, il pourrait ĂȘtre utilisĂ© Ă  des fins malveillantes. C’est, du moins, ce qu’affirment des chercheurs en sĂ©curitĂ© de Check Point. Bien que les conditions d'utilisation d'OpenAI interdisent spĂ©cifiquement la gĂ©nĂ©ration de code malveillants, l’analyse de l’activitĂ© de plusieurs grands forums de piratage par les chercheurs suggĂšre que les cybercriminels sont parvenus Ă  contourner les restrictions et utilisent dĂ©jĂ  ChatGPT pour dĂ©velopper des logiciels malveillants. Ils avancent mĂȘme que dans certains cas, ChatGPT permet dĂ©jĂ  aux cybercriminels avec de trĂšs faibles connaissances techniques en matiĂšre de dĂ©veloppement informatique, de crĂ©er des logiciels malveillants.

Ailleurs, des chercheurs universitaires de l’UniversitĂ© de Cornell sont parvenus Ă  dĂ©montrer que de nouvelles attaques pourraient exploiter les modĂšles Text-to-SQL pour produire un code malveillant. De plus en plus d’applications de base de donnĂ©es utilisent des techniques d’IA pour traduire des questions humaines en requĂȘtes SQL (Text-to-SQL). Les chercheurs ont dĂ©couvert, qu’en posant certaines questions, il Ă©tait possible de tromper ces modĂšles Text-to-SQL pour gĂ©nĂ©rer un code malveillant automatiquement exĂ©cutĂ© sur la base de donnĂ©es. Les consĂ©quences de ce type d’attaques peuvent ĂȘtre assez dramatiques (violation de donnĂ©es, etc.)

đŸ—Łïž La libertĂ© d’expression au coeur des nĂ©gociations du projet de traitĂ© des Nations Unies sur la cybercriminalitĂ©

L’EFF participe cette semaine a un nouveau cycle de nĂ©gociation concernant le projet de traitĂ© des Nations Unies sur la cybercriminalitĂ©. Electronic Frontier Foundation (EFF) est une organisation Ă  but non lucratif qui dĂ©fend les libertĂ©s civiles dans le monde numĂ©rique depuis 1990. L’ONG souhaite faire entendre ses prĂ©occupations sur les projets de dispositions actuellement discutĂ©es. Selon l’organisation, les dispositions actuellement sur la table spĂ©cifient un bien trop grand nombre de crimes liĂ©s au contenu qui mettent en pĂ©ril la libertĂ© d'expression, la vie privĂ©e et les activitĂ©s lĂ©gitimes des journalistes, des lanceurs d’alerte et des activistes.

Durant ce nouveau cycle de nĂ©gociation qui se terminera le 20 janvier, l’EFF s’est fixĂ© plusieurs objectifs, parmi lesquels : garantir l’intĂ©gration des droits de l'homme en ligne dans le traitĂ©, limiter les infractions pĂ©nales proposĂ©es aux cybercrimes graves et exclure les crimes liĂ©s au contenu, s’opposer Ă  toute inclusion de concepts trop larges qui pourraient autoriser la surveillance gouvernementale et Ă  toutes dispositions qui pourraient nuire au cryptage. Pour mener son combat, l’EFF pourra compter sur le soutien de Privacy International et une coalition de 74 organisations de dĂ©fense des droits numĂ©riques et des droits de l'homme dans plus de 45 pays et rĂ©gions.

🚹 Une faille de haute gravitĂ© dĂ©couverte dans une implĂ©mentation JWT populaire

Des chercheurs de Palo Alto ont dĂ©couvert une faille critique dans la trĂšs populaire bibliothĂšque open source jsonwebtoken (JWT) qui compte plus de 10 millions de tĂ©lĂ©chargements hebdomadaires sur le registre des logiciels npm. En version courte, le JWT est un jeton gĂ©nĂ©rĂ© par un serveur lors de l’authentification d’un utilisateur sur une application web ou mobile. Tant que le jeton n’est pas expirĂ© ou annulĂ© pour raison de sĂ©curitĂ©, l’utilisateur n’a pas Ă  repasser par le processus d’authentification complet lorsqu’il souhaite se connecter Ă  nouveau sur l’application. RĂ©pertoriĂ© sous le nom de CVE-2022-23529, la vulnĂ©rabilitĂ© affecte toutes les versions de la bibliothĂšque, sauf la derniĂšre version 9.0.0 du 21 dĂ©cembre 2022 dans laquelle la vulnĂ©rabilitĂ© a Ă©tĂ© corrigĂ©e. La vulnĂ©rabilitĂ©, si elle est exploitĂ©e avec succĂšs, pourrait conduire Ă  “l'exĂ©cution de code Ă  distance (RCE) sur un serveur vĂ©rifiant une requĂȘte JSON web token (JWT) malicieusement conçue" selon Artur Oleyarsh, chercheur de l'unitĂ© 42 de Palo Alto Networks.

ă€°ïž DĂ©gustation ă€°ïž

Les cyberattaques se sont intensifiés en 2022

Dans un nouveau rapport, Check Point Research a publiĂ© de nouvelles donnĂ©s sur les tendances mondiales des cyberattaques en 2022. Les choses ne vont pas en s’amĂ©liorant


À retenir :

  • Les cyberattaques mondiales ont augmentĂ© de 38 % en 2022, par rapport Ă  2021.

  • Le nombre de cyberattaques dans le monde a atteint un niveau record au quatriĂšme trimestre 2022.

  • Les cyberattaques ont Ă©tĂ© menĂ©es par des groupes de pirates et de ransomware plus petits et plus agiles.

  • Les cybercriminels se sont concentrĂ©s davantage sur l'exploitation des outils de collaboration utilisĂ©s dans les environnements de travail Ă  domicile, suite Ă  l’explosion de l’utilisation de ces outils aprĂšs le Covid-19.

  • Les 3 industries les plus attaquĂ©es en 2022 sont l’éducation, le gouvernement et la santĂ©.

  • Les organisations de santĂ© ont subi la plus forte augmentation des cyberattaques en 2022 en comparaison des autres industries.

  • En 2023, le nombre de cyberattaques peut accĂ©lĂ©rer Ă  cause de la maturitĂ© des technologies d'IA, telles que ChatGPT

ă€°ïž Cul sec - La question ă€°ïž

Quelles agences de cybersécurité correspondent ces sigles ?

1. ENISA A. L’agence de cybersĂ©curitĂ© Française2. CISA B. L’agence de cybersĂ©curitĂ© AmĂ©ricaine3. ANSSI C. L’agence de cybersĂ©curitĂ© Australienne4. ACSC D. L’agence de cybersĂ©curitĂ© Britannique5. NCSC E. L’agence de cybersĂ©curitĂ© EuropĂ©enne

—> RĂ©ponse Ă  la sortie du bar.

ă€°ïž À La carte ă€°ïž

đŸ‘šđŸ» Portrait - L’organisme chargĂ© de la sĂ©curitĂ© numĂ©rique de l’État Français a un nouveau Patron. Le gouvernement a annoncĂ© mercredi 4 janvier la nomination de Vincent Strubel en tant que directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information (ANSSI). Ce polytechnicien du corps des Mines ayant Ă©galement passĂ© par Telecom Paris, Ă©tait prĂ©cĂ©demment directeur de l'OpĂ©rateur des systĂšmes d'information interministĂ©riels classifiĂ©s (Osiic), qui gĂšre les communications sĂ©curisĂ©es de l'Etat. Il remplace Ă  ce poste Guillaume Poupard qui a rejoint le 1er janvier Docaposte (groupe La Poste) en tant que directeur gĂ©nĂ©ral adjoint et membre du comitĂ© exĂ©cutif.

âȘ Rewind - Le 12 janvier 2012, Xavier Niel, fondateur de l’opĂ©rateur Free Mobile, lĂąchait une bombe dans le secteur des tĂ©lĂ©coms en annonçant, en plus du forfait illimitĂ© Ă  19,99 euros par mois, un forfait Ă  2 euros par mois. En face, Ă  l’époque, un abonnement illimitĂ© comparable de SFR coĂ»tait 85 euros par mois. En 2014, l’association UFC Que Choisir estimait que l’arrivĂ©e de l’opĂ©rateur Free sur le marchĂ© avait permis de faire baisser l’ensemble des tarifs de 30%.

⚖ ÉvĂšnement - Du 8 au 10 fĂ©vrier 2023 se tiendra pour la 20Ăšme Ă©dition , l’IT Defense 2023 Ă  Mayence en Allemagne. LE rendez-vous du secteur de la sĂ©curitĂ© informatique avec au programme, des confĂ©rences techniques et des prĂ©sentations stratĂ©giques.

ă€°ïž Cul sec - RĂ©ponse ă€°ïž

1-E / 2-B / 3-A / 4-C / 5-D

1-E : L’agence de cybersĂ©curitĂ© EuropĂ©enne est l’Agence de l'Union europĂ©enne pour la cybersĂ©curitĂ© (ENISA)

2-B : L’agence de cybersĂ©curitĂ© AmĂ©ricaine est la Cybersecurity & Infrastructure Security Agency (CISA)

3-A : L’agence de cybersĂ©curitĂ© Française est l’Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information (ANSSI)

4-C : L’agence de cybersĂ©curitĂ© Australienne est l’Australian Cyber Security Centre (ACSC)

5-D : L’agence de cybersĂ©curitĂ© Britannique est le National Cyber Security Centre (NCSC)

Toutefois le NCSC britannique n’a pas le monopole de ce sigle. D’autres agences de cybersĂ©curitĂ© dans le monde portent le sigle NCSC, comme celui des Pays-Bas, de l’Irlande, de la Suisse et de la Nouvelle ZĂ©lande. En Europe, l’ensemble des centres nationaux sont rĂ©pertoriĂ©s ici par la Commission EuropĂ©enne.

A noter que les centres Britannique, Canadien, Australien et Néozélandais font réguliÚrement des publications communes avec les agences nationales américaines (dont NSA, FBI).

ă€°ïž Digestif ă€°ïž

Bienvenue au Cirque d’Hiver ! đŸŽȘ đŸ€Ą

Le "guichet unique des formalitĂ©s des entreprises" a Ă©tĂ© lancĂ© le 1er janvier 2023 pour simplifier la vie des entreprises dans leurs dĂ©marches et ca ne s’est pas passĂ© comme prĂ©vu 


Le tweeto H_Miser vous en dit plus

Merci d’ĂȘtre passĂ© ! Rendez-vous samedi prochain pour votre nouveau Shake de l’actu cyber et digitale ! 👋

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